vendredi 13 novembre 2009

L'homme et l'univers.


L’univers, ce monde mystérieux de pure beauté, qui nous étonne de jour en jour par de nouvelles découvertes, me laisse souvent songeur.

Comme il est lié à notre origine, à savoir comment la vie est survenue sur terre et certainement ailleurs, lié également à la croyance d’un créateur de toutes choses, que les croyants appellent Dieu ; l’étude en est digne d’intérêt.


Je viens de terminer la lecture d’un livre intitulé « Au commencement du temps » d’Igor et Grichka BOGDANOV, édité en juin 2009, livre très scientifique, dernièrement édité, qui finalement n’a pas apporté certaines réponses à mes questions. Pourtant, les auteurs ne manquent pas d’érudition.

Tout d’abord quant-ils parlent du temps, ces écrivains lui donnent un début. Pour ma part, je pense que le temps est une notion abstraite qui n’a pas de limite et que sa durée est éternelle quelque soit les bouleversements survenus dans le cosmos. IL est omniprésent et fait partie d’un tout indissociable. Il permet d’évaluer la durée de l’évolution du monde et de la vie, raison pour laquelle il est perçu par le règne du vivant.

Quant-à l’espace sidéral, qui pour ma part est une notion concrète, je pense également qu’il n’est pas limité. L’univers en expansion ne peut donc se heurter à aucun obstacle, même si soit disant, il s’incurve de lui même.
La formation de l'infiniment petit, que se soit à l’intérieur d’un atome (électrons, protons, neutrons, quark et peut-être encore plus petit) ou d’une cellule (avec son brin d’ADN d’environ un mètre de longueur), de même que celle de l’infiniment grand (Multitudes de galaxies avec ses milliard d’étoiles) ; relève pour ma part d’un système organisé intelligent et je doute qu’il soit le pur fruit du hasard. Je pense que ces deux extrêmes sont intimement liés, Ils forment un tout indivisible, l’un englobant l’autre.

Quant-à la recherche de l’origine de la vie sur terre, le raisonnement humain n’a pas abouti à de résultats probants. Nous n’avons jamais créé de nous même la vie, quelle soit végétal, animal ou humaine. Le mystère reste donc entier et il le restera encore longtemps.

Ce que je sais, c’est que dans l’univers, tout est symbole d’équilibre et tout se calcul avec précision. Nous ne saurons jamais par quel phénomène l’éther s’est créé pour former l’énergie et la matière. Il y a là une limite à notre intelligence que nous ne pouvons pas transgresser.

Ce que je sais encore, c’est que le créateur du monde a sacrément bien fait les choses et que son savoir dépasse notre entendement.
La personne qui me dit : Du néant, du vide, de rien, tout peut se créer ; qu’il veuille bien m’en donner la recette. Merci.

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L’homme et l’univers.

Univers agité, quel est donc ton secret ?
Tes myriades d’étoiles scintillent sans arrêt.
D’où viens-tu ?, où vas-tu ?, ne puis-je avoir la paix ?,
Car mon être assoiffé veut savoir à jamais.

Galaxies infinies qui se meuvent aussi vite
Dans ce vide sidéral grandiose et sans limite
Me trouble et m’exaspère. Où sont donc mes repaires ?
Poussière dans l’univers, particule éphémère.

Univers fécond, tu es l’éternité,
Tes astres se construisent par la nécessité
Que tout soit équilibre et non dû au hasard,
Car on te l’a dicté comme point de départ.

Univers envoûtant, d’où vient ton énergie ?
Émanant de partout, réchauffant sans répit
Toutes les galaxies inexorablement,
Profusion de lumière dans tout le firmament.

Ton espace est dantesque, ordre des choses énorme,
Tu crées sans t’arrêter ou alors tu transformes,
Tu as ta raison d’être, ne connait pas le temps,
Dans ce vide qui m’aspire, me hante par moment.

Que ne puis-je te parler ?, recevoir ta réponse ?
Je sais ta raison d’être et tes coups de semonces.
Tu montres ta puissance, toi qui donnes la vie
A qui veux la comprendre, quiconque en a envie.

Tu exploses, détruits, construits sans t’arrêter.
Ton labeur est immense car tu dois répéter
Inexorablement les mêmes phénomènes,
Perpétuer la survie, ton statue, ton domaine.


Pour toi compte seulement l’équilibre des astres,
De régler leurs vitesses quelques soient les désastres.
On t’a donné l’éther, l’énergie, la matière,
Tu dois les façonner de toutes les manières.

Quel est ton origine ?, Quel est donc ton début ?,
Et ton point de départ : le vide absolu ?,
Créée avec le temps en des milliards d’années,
Toutes ces particules devenues animées.

Tu es le chef d’orchestre des étoiles et la terre,
Régis les lois immuables de ton monde planétaire.
Dis-moi comment la vie a pénétrée ta sphère ?,
Je voudrais le savoir, c’est ma règle première.

Et le temps qui n’existe que par ce qui se meut,
Peut soudain s’écouler dans l’espace qui peut
Se mouvoir sans savoir ni pourquoi, ni comment,
Car il en est ainsi pour nous êtres ignorants.

Nous vivons sur la terre, notre unique espoir,
Poussière d’une étoile, notre ultime savoir,
Nous limite dans l’espace que nous appréhendons,
Qu’on ne peut posséder et dont nous dépendons.

Chère terre souveraine, perdue dans l’univers,
L’être humain te possèdes, impose par devers
Ses religions multiples avec toutes ses guerres
En vaines tentatives, convictions éphémères.

Penser que la nature à créé toutes vies,
Montre une connaissance des plus inassouvies.
Seule une force inconnue, nul ne peut en douter,
A créée l’univers et sa complexité.

Hasard, ô pur hasard, es-tu pour quelque chose ?,
Pour que la vie survienne et que l’on en dispose
Comme un bienfait normal, semble être notre dû,
Sans rien solliciter, ne pas être éperdu.

L’origine de la vie, qui vraiment la connaît ?
Croire qu’elle fût créée, nul doute à ce sujet,
Quel est son créateur ?, Quel est son ministère ?,
C’est notre maître à tous, mais demeure un mystère.

L’univers où la vie existe en synergie
Avec le temps, l’espace, la matière, l’énergie :
Se mélangent, se complètent, s’agglutinent, se confondent,
En ne formant qu’un tout en cet unique monde.


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