Dame
nature.
Quand le printemps s’éveille, la fée de sa
baguette
Change en couleurs merveilles dame nature en
fête.
Qu’il est bon de rêver en ces champs délicieux,
Disperser sa pensée, gambader en ces lieux.
Jolis prés fleurissants tachetés de toutes
parts,
Coquelicots rouge-sang en beaux bouquets épars,
Que les fleurs sont belles, enchantement du
cœur,
Elles flirtent avec le ciel et l’oiseau
enchanteur.
Lorsque le vent paresse, s’échauffe sous les
cieux,
Prodigue ses caresses en remous capricieux,
Harmonieusement se dérobe et revient,
Caressant doucement l’herbage du chemin.
Le merle enchanteur à gorge déployée,
Persiffle de tout cœur son refrain égayé.
Il conte à tout vent à qui veut bien l’entendre
Sa rengaine d’antan que nul ne peut comprendre.
Les abeilles butinent sans crainte du labeur,
Elles errent libertines parmi ces jolies fleurs.
Enrobent dans leurs pattes le pollen mordoré,
S’activent toutes en hâtes sur ces bourgeons
sacrés.
J’ai vu la coccinelle gravir la tige tendre,
Puis déployer ses ailes et se laisser
surprendre
Par le vent malicieux, chuter à même le sol,
D’un besoin impérieux reprendre son envol.
J’ai vu la libellule, couleur bleu-argentée,
En grande majuscule, vibrer à mes côtés.
Ses ailes majestueuses, filigrane prodigieux,
Transparentes et soyeuses, ravissement des
yeux.
Les papillons virevoltent en ces lieux égarés,
Délectent leurs récoltes de nectar chamarré.
Ils balayent affolés dans l’air parfumé,
Leurs ailes bariolées en tous points clairsemés.
Ô Dieu ! Tu as
fait-là un monde de beauté,
Ô homme ! Ne détruit pas ces endroits
enchantés.
Pensons à nos enfants, c’est là leur héritage,
Gardons au fil des ans ces si beaux paysages.
Une
variante de ce même poème.
Quand le printemps s’éveille,
La fée de sa baguette
Change en couleurs merveilles
Dame nature en fête.
Qu’il est bon de rêver
En ces champs délicieux,
Disperser sa pensée,
Gambader en ces lieux.
Jolis prés fleurissants
Tachetés de toutes parts,
Coquelicots rouge-sang
En beaux bouquets épars.
Que les fleurs sont belles,
Enchantement du cœur,
Elles flirtent avec le ciel
Et l’oiseau enchanteur.
Lorsque le vent paresse,
S’échauffe sous les cieux,
Prodigue ses caresses
En remous capricieux,
Harmonieusement
Se dérobe et revient,
Caressant doucement
L’herbage du chemin.
Le merle enchanteur,
A gorge déployée,
Persiffle de tout cœur
Son refrain égayé.
Il conte à tout vent
A qui veut bien l’entendre,
Sa rengaine d’antan
Que nul ne peut comprendre.
Les abeilles butinent
Sans crainte du labeur,
Elles errent libertines
Parmi ces jolies fleurs.
Enrobent dans leurs pattes
Le pollen mordoré,
S’activent toutes en hâtes
Sur ces bourgeons sacrés.
J’ai vu la coccinelle
Gravir la tige tendre,
Puis déployer ses ailes
Et se laisser surprendre
Par le vent malicieux,
Chuter à même le sol,
D’un besoin impérieux
Reprendre son envol.
J’ai vu la libellule,
Couleur bleu-argentée,
En grande majuscule
Vibrer à mes côtés.
Ses ailes majestueuses,
Filigrane prodigieux,
Transparentes et soyeuses,
Ravissement des yeux.
Les papillons virevoltent
En ces lieux égarés,
Délectent leurs récoltes
De nectar chamarré
Ils balayent affolés
Dans l’air parfumé,
Leurs ailes bariolées
En tous points clairsemés.
Ô Dieu ! Tu as
fait-là
Un monde de beauté,
Ô homme ! Ne détruit pas
Ces endroits enchantés.
Pensons à nos enfants,
C’est là leur héritage,
Gardons au fil des ans
Ces si beaux paysages.
Le 25
mars 2010.